P.-S. Veuillez lire à haute et intelligible voix ce message à vos congénères contaminés : avec leurs yeux crevés et leurs béatitudes extatiques, j'ai crainte que ce propos ne leur échappe. En effet, désirant rester tranquille au fond du gouffre où je suis tombé il y a bien longtemps, j'aimerais limiter autant que faire se peut les cris de frayeur et autres sons d'atterrissages douloureux qui nuisent à la confection de mes poèmes et à mon épanouissement solitaire.
Merci